A MOTS LIBERES …


Autant que l’écologie, il y a là un enjeu fondamental pour notre civilisation judéo-chrétienne, auquel les français croient de plus en plus.

Le réveil est difficile, car pendant 3 décennies, ont nous a mis sous hypnotique.

Stigmatisant ceux qui souhaitaient en parler, ils ont nourri de justes craintes.




«L’angoisse des questions qu’on ne pose pas, cache la pauvreté des réponses.» Frédérique Deghelt


L’immigration, un défi du 21éme siècle…


Avec pour conséquence, des questions pragmatiques, dont nos gouvernants sont incapables de répondre, submergés par les chiffres, ils gèrent au cas par cas, … Alors, tout est fait, tout est dit, savamment organisé, pour laisser croire aux français que tout est sous contrôle. Mais malheureusement, il n’en est rien.


Car pire que l’abandon de la laïcité dans notre pays, nous constatons, à présent, la perte totale de notre civilisation dans certains quartiers, villes… La faute à nos gouvernants qui savent confiner tout un pays, nous priver de nos libertés pour endiguer un virus, contrôlant à chaque coin de rue nos attestations de déplacement, mais qui dans le même temps sont incapables, car blèches presque abouliques pour fermer, ‘’confiner’’ avec fermeté nos frontières afin d’atténuer l’immigration illégale et invasive.


Quels sont les vrais chiffres de l’immigration, quel en est le coût, est-elle plus massive que par le passé, cette permanence des flux empêche t’elle  l’intégration, … ?

«L’angoisse des questions qu’on ne pose pas, cache la pauvreté des réponses.» Frédérique Deghelt


Dans la deuxième décennie de ce siècle, la majorité des français ne voit plus l’immigration comme une chance.

«Nous n’avons plus les moyens d’accueillir et d’intégrer», c’est un constat pour 64% d’entre nous.


Certains médias, associations, politiques, ‘’influenceurs’’…, jouent sur la corde sensible, de la : « HONTE » !

«Le sentiment de honte est à la base de notre civilisation occidentale.» Bruno Bettelheim


La technique de certains influenceurs, intellectuels irresponsables, car ne maîtrisant en rien la totalité du dossier, est simple : s’indigner chez les médias, faire monter la ‘’honte’’, pour que chaque français en prenne pour son grade en fonction de son niveau d’analyse et de réflexion, sur le sujet. Le lien est vite trouvé avec les méthodes moyenâgeuses de l’inquisition.


Ce sentiment est le ciment de tout changement social: ‘’mariage pour tous’’, ‘’procréation médicalement assistée’’, car il est brandi par certains, à chaque fois pour casser un débat dans la société, ou atténuer la parole des français qui ne pensent pas comme eux, mais surtout pour faire passer une réforme, un projet délicat et contraire aux origines de notre civilisation.


Ce n’est pas fait au hasard…  Ce sentiment de honte émerge si l’individu qui vit cette situation a la sensation de perdre sa dignité, son honneur face au jugement des autres. Et c’est bien ce que nous avons vécu pendant des décennies, où on a délibérément tué le débat sur l’immigration, faisant passer les détracteurs, les opposants, les débatteurs pour des ‘’Frontistes’’, ‘’Le Peniste’’,… (la fameuse ‘’honte’’).

Alors la démocratie perd de son aura à agir ainsi, refusant le débat avec son peuple, le soumettre à un référendum, mener une politique qui respecte ses engagements plutôt que de mener la politique de l’autruche (du : ‘’pas de vague’’) et celle des lobbystes ‘’immigro-gauchistes’’.


Le 10 décembre 2018, dans son allocution télévisée, Emmanuel Macron s'était montré pourtant  très clair :

 «Je veux que nous mettions d'accord la Nation avec elle-même sur ce qu'est son identité profonde, que nous abordions la question de l'immigration. Il nous faut l'affronter. Ces changements de fond qui demandent une réflexion profonde et partagée, imposent un débat sans précédent. Il devra se dérouler au niveau national dans nos institutions, chacun y aura sa part: gouvernement, assemblées, partenaires sociaux et associatifs ; vous y aurez votre part. Je veux (…) prendre ainsi le pouls vivant de notre pays.»


Sitôt l'allocution terminée, Dominique Sopo, président de ‘’SOS Racisme’’, a revêtu son armure de combattant :

« Si le gouvernement entend faire des immigrés un ‘’bouc émissaire jeté en pâture des frustrations sociales des gilets jaunes’’, a-t-il annoncé, il trouverait à qui parler ».

Le 12 décembre, le débat était mort et n’a rien donné en terme de politique migratoire, d’échanges avec les français. Un manque de respect, insupportable envers les français.


Les associations lobbyistes et démagogues, traitent  l'immigration comme un quasi droit de l'homme, que l'on soit réfugié ou pas et assignent au tribunal toutes littératures ou prises de parole, contraires à leurs thèses et doctrines.

Alors la peur s’installe dans la société française, refusant d’en parler librement pour ne pas être fustigé de ‘’honteux’’.

Est-ce cela une démocratie ? Souhaitons-nous vivre dans un pays sous emprise, sous le dictat, la soumission  de ceux qui veulent tuer un véritable débat démocratique sur le sujet ?


Refusant que les français s’approprient ce débat sur l’immigration, ils refusent que les français se réveillent totalement en prenant acquisition des chiffres sur les coûts de l’accueil aux migrants, ceux des aides, des résultats sur l’intégration, …

Mais également sur les aspects positifs de l’immigration.

Car, OUI, tout n’est pas négatif et mérite ce débat avec le peuple pour améliorer notre relation à l’autre et construire un avenir meilleur pour ces populations exilées de leur terre natale, celle de leurs ancêtres.














LE FIGARO | ENQUETES

La France face au défi de l'immigration,

L'islamisme, un défi pour notre civilisation.


Pour trouvez des réponses à vos questions :

LE FIGARO - Enquêtes  Si vous souhaitez continuer à vous Informer, sur ce sujet et d’autres …


Les questions que soulèvent les français depuis des années doivent, à présent rapidement, trouver des réponses pour apaiser leurs justes craintes, solutionner et gérer ces arrivées massives dans un contexte de crise sociétale, afin que cela ne soit pas assimilé à une simple invasion. Offrir un référendum aux français est plus que nécessaire.

N’oublions pas que la France est sous perfusion, malade de trop de misère chez nos plus jeunes citoyens, nos séniors…

Aucune famille, aucun milieu social ne sont épargnés, surtout en ces périodes de crises financières, crises sanitaires du COVID.

Il devient insupportable de faire subir moult réformes régressives aux français, des restrictions sociales, des efforts, alors que le budget d’aides aux migrants explose : 5,8 milliards d'euros en 2018, 6,2 milliards d'euros en 2019 et 6,7 milliards d'euros en 2020 (source : Cours des comptes), c’est le coût de la protection universelle maladie (PUMA), de l’allocation pour demandeur d’asile (ADA), etc …

Tous les chiffres doivent pouvoir être débattus, comme ceux mettant en exergue ce que rapporterait l’immigration à l’état.


Après avoir contribué à l’essor de la nation, fait le service militaire en tant qu’appelé du contingent durant 24 mois, travaillé toute une vie, cotisé, payé des impôts, etc… Nos séniors touchant une pension de 700 euros/mois, n’admettent pas et ne supportent plus que les ressources financières de l’état, soient données aux immigrés en situation illégale.

Alors que des agriculteurs ne peuvent pas se verser de salaire, que des salariés dorment dans leur voiture parce que trop pauvres pour se loger; en 2019, l’aide à un demandeur d’asile était de 6,8 euros/jour (pour un demandeur logé dans un centre (sans nourriture fournie)). Soit 204 euros.

Un montant supplémentaire de 7,40 euros était octroyé si le demandeur n’avait pas de place d’hébergement. Ce qui amenait alors le montant total de l’aide à 14,20 euros par jour, soit 426 euros par mois. Elle est là, la nécessité d’un débat !


Alors que la pédagogie gouvernementale, pour faire passer dans l’opinion publique leurs funestes réformes, est de marteler que les ressources financières sont taries, Les français n’acceptent plus que des aides financières bénéficies en priorité aux immigrés. C’est un point de crispation important.


La crise des ‘’gilets jaunes’’ est le reflet de notre société malade, exacerbée par les réformes régressives sur nos conditions de vie (réformes des retraites, des services de santé, du code du travail, gel des pensions et des salaires,…), perdant des droits acquis dans le sang, entre-autre lors du Front populaire, acculé par toutes ces lois et normes qui viennent d’en haut et qui pèsent sur un quotidien de plus en plus dur à supporter. Alors, il est normal de tout remettre à plat et de pouvoir discuter de toutes les aides, budgets annuels, politiques migratoire et d ‘accueil.


Car trop de français commencent à faire un dangereux amalgame, entre les réformes gouvernementales demandées, entre-autre en leur imposant de devoir travailler plus et plus longtemps, avec souvent moins de pension au final (!) et l’explosion des aides aux prestations sociales, frais d’accueil de toutes ces familles issues de l’immigration incontrôlée et donc subie.


Ne pas le faire aujourd’hui, c’est comme savoir que l’autocuiseur à un problème et qu’il faut s’attendre à une explosion, sans agir rapidement sur les causes possibles!


Une des explosions à laquelle il faut s’attendre, puisqu’elle est la conséquence directe à ne pas vouloir traiter démocratiquement et librement du sujet, c’est la monté des courants de penser et partis politiques dits ‘’populistes’’, en Europe, mais également dans le monde.

S’en étonner devant les caméras de télévision, d’ailleurs souvent par les mêmes qui ne souhaitent aucun débat, aucun référendum sur l’immigration est d’une hypocrisie ubuesque, à la limite de la démence.

Car ce sont les mêmes, qui, prendront leur ‘’tête de honteux’’, pour s’offusquer de l’élection d’un président de la république, issu du Rassemblement National et élu démocratiquement.

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